Histoire de Firaël Mornaroquen
Firaël Mornaroquen est issu d’une famille de roturier basée à Eternelle Rencontre. Ce haut-lieu de la civilisation elfique a engagé beaucoup de ces derniers à venir y trouver refuge suite à la perte de Myth Drannor (qui selon certains, débute avec l’Ouverture). Y vivre était donc un accomplissement en soi.
Les parents de Firaël sont issus d’une ancienne famille de petite noblesse de Myth Drannor, ils ont connu en tant qu’enfant, la déchéance de la famille paternelle . Ils n’ont, depuis, de cesse que de vouloir retrouver ce titre de noblesse pour pouvoir marcher la tête haute à Éternelle Rencontre.
Leurs espoirs se fondent autant sur les actes du père au sein de l’armée d’Éternelle Rencontre, que sur la prometteuse carrière de leur fils, Firaël.
Toutefois, ce dernier n’a de passion que la forêt. Certes les elfes aiment la forêt, mais surtout les elfes des bois, les elfes argentés préfèrent vivre dans les milieux elfiques emplis du luxe de la noblesse. C’est d’ailleurs pour ça que les elfes argentés font rarement de bon druide.
Malgré les remontrances de son père, Firaël décide d’épouser cette carrière et de repousser celle de gardien d’Éternelle Rencontre, qui aurait pu permettre à la famille de se faire un nom beaucoup plus rapidement.
Afin de mener à bien son idée, et de remettre son fils dans le droit chemin, le père décide d’obliger son fils à ne plus voir les elfes des bois avec qui ils passent son temps ( faire une petite histoire sur les amis et amies elfes des bois que Fifi cotoie).
Courroucer par cette décision, Firaël se rebelle, s’en suit une violente discussion à la suite de laquelle Firaël décide de montrer à son père qu’il peut redorrer leur blason à la force des arbres.
Ce dernier ne lui laisse qu’une seule possibilité, partir à l’aventure et ne revenir que quand il aura fait force de courage et de noblesse. Pour cela il devra entendre parler de son fils à Éternelle Rencontre. Une fois cela fait, et la noblesse de la famille acquise en remerciements des bonnes actions faîtes en l’honneur de la ville, Firaël aura la possibilité de faire ce qu’il veut, soit de revenir, soit de continuer sa vie de badeau. Il sera enfin le mettre de son destion
Informations :
Famille :
- Le père, Ivellios Morna (qui veut dire Chevallier en haut-elfe, preuve de son ancienne noblesse), est un individu bon et sage, mais qui perd sa patience face à son fils, il a vu tomber Myth Drannor et il n’apprécie pas les humains qu’il trouve sales et grossiers. Sa vie est tout entière rythmée par le son du cor et il se veut un guerrier aguerri faute de n’être plus un noble guerrier aguerri. Beaucoup de ses actions sont dirigées vers la redécouverte de ce titre, ce quee beaucoup, même à Éveraska, considèrent comme imérité vu les actions de son père pendant la catastrophe de (…). Cette trahison, il l’a porte jusque sur son armure, où l’emblème de son ancienne noblesses est frappé d’un trait rouge qui la barre. Il est profondément irrité de voir que son fils ne désire pas autant que lui recouvrer cette noblesse, et il ne comprend pas non plus son penchant pour les elfes des bois, bien moins raffiné que ceux d’argent.
Physiquement : Son métier de guerrier l’a endurçit, il porte avec fierté une cicatrice sur l’avant bras qu’un tyrannoeil lui a faite pendant une bataille aux abords de la cité. Son regard d’un vert sombre semble, de prime abord, incompatible avec les regards de braise qu’il peut pourtant décocher quand la rage l’envahie. Sa chevelure gris claire épouse parfaitement sa peau grisâtre, ternie par les blessures de guerre. Il est très grand pour un elfe et a gardé la posture d’une certaine noblesse, attitude qui lui vaut les coliber de ses plus grands détracteurs.
- La mère, Lia Roquen ( qui veut dire Sombre, en raison de son épaisse chevelure brune, très rare chez les elfes argentées), est une femme douce et volontaire, qui suit de manière presque aveugle les volontés de son mari. Elle aime profondément son fils et regrette beaucoup l’attitude de Ivellios à son égard, même si elle le comprend. Son mariage avec Ivellios est autant le fruit de l’amour que celui de l’ambition, elle désire plus que tout faire revivre dans la noblesse le nom qui fût traîné dans la boue, celui de son mari. Elle considère qu’il n’est pas responsable de ce que son père a fait et n’accepte pas d’entendre des individus dire que cela est normal. D’une nature plutôt patiente elle s’emporte facilement à ce sujet.
Physiquement : Elle est très fine, la peau laiteuse, légèrement argentée, des yeux d’une bleu profond relevé par une chevelure interminable d’un noir de jai.
- La sœur, Irsinia, est l’une des plus belles plantes du royaume sa taille de guèpe et ses yeux de biche s’incorporent avec maestria dans son visage d’ange et sa poitrine rebondie. Elle aime beaucoup son frère et la compagnie des elfes de tous bord, pas raciste pour un sous, à l’instar de son frère et au grand damne de son père, elle aime profiter des plaisirs de la vie (tous), et se montrer dans les grands diners et receptions qui sont légions. Elle aimerait beaucoup profiter de cette beauté et jouir d’un statut plus élevé, elle compte donc beaucoup sur son père afin de recouvrir leur noblesse car elle se refuse au mariage, quand bien même certains des plus grands princes du royaume se plaisent à la courtiser. Son père pousse en ce sens, mais malgré le désir de ces jeunes princes, la réticence de se marier avec une famille bannie n’accélère pas les choses.
La famille de Firaël est très petite dans la mesure où son grand père fût tuer pour trahison et sa grand-mère mourru de chagrin autant que de honte. Il n’a que de faible souvenir de ses grands-parents et ne connaît pas sa famille paternelle, son père n’en parle que pour les insulter de ne rien faire afin de redorrer le blason de la famille et se tait bien de dire où ils se trouvent.
Du coté de sa mère les choses sont plus calmes, la famille est nombreuses mais elles n’aiment pas trop venir voir sa mère à cause de la renommé de son père. Du coup il ne voit que très rarement les gens de sa famille.
Son nom combiné, Mornaroquen (en Haut-elfe, Chevalier sombre) ne laisse rien présager de bon quant à la noblesse retrouvée de sa famille, son ressentiment vis-à-vis de son père non plus. À la suite de son exil, il sombra dans les travers humains de l’alcool et de l’herbe à pipe, il commença à perdre son don de Rèverie et appris les affres du sommeil. Cependant qu’il buvait dans une taverne à Lyrabar, il rencontra un Héraut elfe qui le soigna de ses maux et lui rendit son statut d’elfe en lui faisant promettre d’œuvrer pour le bien de sa famille, et d’exaucer la volonté de son père. C’est alors qu’il partit en quête d’aventure.
La trahison de la famille Morna :
La famille Morna était une petite famille noble de Myth Drannor à l’époque où cette dernière raiyonnée de sa plus belle splendeur. La plus belle cité des elfes connut cependant des troubles sans précédent. La décision de l’ouverture de la ville aux humains et autres races courroucée beaucoup des nobles de la ville, qui voyait là un acte de trahison. Imellir Morna était de cela, son attitude face à Elminster fut approuvée par nombre d’elfes mais rejeté par les instances dirigeantes, et sa faible importance politique ne lui permettait pas ce genre de comportement. Ceci étant la trahison n’apparût que plus tard. En effet Imellir Morna décida d’entrer dans un groupuscule de nobles elfiques désirant la peau du dirigeant de Myth Drannor.
Plus que cela, il agissa avec détermination pour faire mourir ce qu’il ne voyait plus que comme un vieux fou. Il prit donc une part active au complot qui fût ourdi et démantelé par les haut-mages entourant le dirigeant.
Ainsi fût mis sur place publique une telle infamie, pour les nobles de haut-rang, les sanctions allèrent jusqu’à l’exil. Mais pour les petites noblesses comme celle de Morna, et étant donné l’implication de ce dernier, on préféra retirer sla noblesse à lui et à sa famille. La colère que provoqua en lui une telle décision fît penser à beaucoup qu’il était devenu fou, il se dirigea d’un pas décidé vers le dirigeant et fût abattu avant de pouvoir lancer la moindre dague ou le moindre sort en sa direction. Un tel acte de trahison jeta encore un peu plus le discrédit sur la famille entière. Et à la chute de Myth Drannor, la famille fût accepter, avec mépris et réticence, dans la ville d’Éternelle Rencontre. Ivellios nourrit une haine et un respect très particulier à son père, le jugeant autant maître de tous ses maux que responsable de l’acte le plus digne que l’ensemble de la famille et pu connaître.